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samedi 5 octobre 2013

Les nouvelles « règles » de la séduction 2.0.

Les règles : Secrets pour capturer l’homme idéal, comment attraper un mari en 35 leçons, succès de libraire américain d’Ellen Fein et Sherrie Schneider, exhortait les femmes à ne jamais téléphoner à un homme, à parler peu, ou encore à refuser un rendez-vous de dernière minute. Ces conseils ont permis à de nombreuses lectrices d’avoir plus d’un homme à leurs trousses. Cependant, l’ouvrage date de 1995, soit bien avant l’avènement des textos et de Facebook. Pour répondre à ces nouveaux défis amoureux pilotés par la technologie, les deux auteures ont publié la suite du livre en janvier 2013 : Not your Mother’s Rules : The New Secrets for Dating (Oublions les règles de nos mères : Les nouveaux secrets des rencontres amoureuses). Ellen Fein et Sherrie Schneider nous expliquent ici comment réagir lorsque l’on reçoit un texto, nous révèlent la plus grosse erreur qu’une femme (ou un homme) puisse commettre au cours d’un rendez-vous amoureux, et dévoilent les règles qu’elles ont eu elles-mêmes le plus de difficultés à respecter.

Q. Comment le monde des relations amoureuses a-t-il évolué depuis la sortie de votre bestseller en 1995 ? Comment ces changements empêchent-ils les femmes de trouver l’homme de leur vie et de s’installer ?
Ellen : Le monde des rencontres est totalement différent de ce qu’il était en 1995, quand nous avons écrit Les règles. Les textos, Facebook, les programmes de messagerie instantanée, FaceTime, Skype, Twitter et autres outils technologiques font qu’il est désormais difficile de garder un peu de mystère. Les femmes en 2013 sont virtuellement transparentes, et accessibles aux hommes 24h/24. De nombreuses jeunes femmes dorment à côté de leur téléphone et répondent à leurs messages dans la seconde, même s’ils n’ont aucune importance (ex. « Je suis chez le coiffeur » ou « Que fais-tu maintenant à deux heures de matin ? »). Ce comportement nuit au flirt. Lorsqu’une femme assomme un homme de messages à longueur de journée, qu’elle publie des variantes de « Passe une bonne journée, beau gosse ! » sur son mur sans relâche (ou envoie des messages à ses amis, ses collègues, ou même sa mère), le partenaire potentiel se sentira probablement étouffé par cette attitude excessive et prendra ses jambes à son cou.

Sherrie : De nombreuses femmes ont l’impression d’être « impolies » si elles ne renvoient pas à un message dans la nanoseconde, ou ont le sentiment de passer pour un rabat-joie si elles ne répondent pas à un sexto. Nous leur conseillons de prendre du recul et de faire preuve d’un peu de retenue, de sorte que les hommes qu’elles intéressent soient obligés de les inviter, car ils ne peuvent pas tout apprendre sur elles par voie électronique (c’est-à-dire par le biais d’une mise à jour continuelle de leur statut en ligne).

Q. Face à ce nouveau paysage amoureux, quelles « règles » avez-vous modifiées ou ajoutées dans cette version récente ?

Ellen : Nous conseillons aux femmes de ne pas poser de questions au sujet du profil Meetic ou Facebook d’un homme (pour ne pas passer pour celle qui le connaît déjà par cœur) et de ne pas répondre à un texto après minuit, car la plupart du temps, il s’agit d’un coup d’un soir.

Q. Parmi les « règles » originales, lesquelles sont toujours de mise aujourd’hui, et ne changeront probablement jamais ? Pourquoi ?
Sherrie : Laissez les hommes venir à vous, ne partagez pas l’addition, et enfin, ne parlez pas trop lors des premiers rendez-vous. Pourquoi ? Tout simplement parce que les hommes et les femmes sont génétiquement différents. Les hommes aiment le défi et apprécient les femmes qui ont leur propre vie et qui ne ressentent pas le besoin d’être au centre de l’attention lors des premières rencontres.

Q. La technologie joue désormais un rôle de premier plan dans notre vie amoureuse. Quelle est la plus grosse erreur qu’une femme célibataire puisse commettre aujourd’hui ?
Sherrie : Dévoiler toute sa vie, répondre à un texto dans la seconde, envoyer deux messages de suite par accident, accepter une aventure d’un soir, ne pas raccrocher la première au téléphone ou sur Skype (c’est-à-dire passer des coups de fil interminables) ou être simplement être trop disponible. Un homme se désintéressera de vous s’il vous entend trop souvent, au risque de finir par ignorer vos appels. Et inversement, les hommes aiment la brièveté. Loin de se sentir offensés, ils apprécient un peu de silence et d’espace, car ils sont beaucoup moins verbaux que les femmes. Et s’ils plaisantent et vous trouvent bien laconique, ils finiront par avoir envie d’en apprendre plus à votre sujet plutôt que de s’ennuyer à mourir et de redouter vos emails, messages ou coups de téléphone. Si vous souhaitez ne pas submerger, étouffer ou repousser celui qui vous plaît, faites en sorte que vos profils en ligne, vos emails, vos messages et autres formes de communication demeurent légers et incomplets. Essayez de mettre un terme la première à vos conversations ou vos rencontres (« sortez de là », comme on dit), comme si vous étiez pressée d’aller à la salle de sport ou de vous rendre à une soirée ; il devra alors vous inviter pour réellement apprendre à vous connaître.

Ellen : Une erreur encore plus colossale est celle de vouloir « faire une pause » et se désinscrire d’un site de rencontres. Les femmes veulent effacer leur profil après six mois, de crainte que les hommes qu’elles ont fréquentés réalisent qu’elles sont encore célibataires, que leurs collègues tombent sur leur annonce, ou simplement parce qu’elles se lassent de ces emails et premiers rendez-vous qui ne mènent nulle part. On leur répond : une pause de quoi exactement ? D’avoir peut-être un partenaire à vos côtés le jour de votre anniversaire ou du réveillon du Nouvel An ? Nous les encourageons à maintenir le cap et à laisser leur profil en ligne jusqu’à ce qu’elles aient trouvé un partenaire exclusif prêt à les épouser (soit quand votre chéri vous annonce qu’il retire son profil en ligne parce qu’il ne veut voir personne d’autre, et que vous vous dites la même chose). Vous pourrez alors vous désabonner et sabrer le champagne. D’ici là, continuez à consulter vos messages !

Q. Quelle est la plus grosse erreur que les hommes commettent aujourd’hui dans le monde des rencontres amoureuses ?
Sherrie : La plupart des hommes ne commettent pas d’erreurs. Ils courent après les femmes qui leur plaisent, et ignorent celles qui ne les intéressent pas. Mais cela ne leur ferait pas de tort d’ouvrir la portière de la voiture… et d’envoyer des fleurs pour un anniversaire ou la Saint-Valentin ! Les mecs se plaignent parfois auprès de nous parce qu’ils ont invité une femme à dîner le mercredi pour le samedi et qu’ils essuient un refus. Ils accusent ensuite Les règles de rendre ces femmes inaccessibles. Nous leur avons gentiment expliqué que s’ils invitaient une femme à l’avance et que celle-ci refusait leur demande, elle n’appliquait pas les principes du livre, mais qu’elle n’était tout simplement pas intéressée et qu’ils devaient alors passer à autre chose. Les femmes qui lisent Les règles sont peut-être difficiles à conquérir, mais elles ne sont pas inaccessibles !

Q. Quand on voit les progrès financiers, professionnels (et autres) des femmes, pourquoi « jouer l’inaccessible » est-il toujours aussi efficace pour attirer un homme dans ses filets ?
Ellen : On ne « joue » pas. C’est efficace parce que nous conseillons aux femmes de ne pas courir après les hommes, de ne pas se montrer en manque d’affection ou d’envoyer deux ou trois messages en suivant (« Pourquoi ne m’as-tu pas donné de nouvelles plus tôt ? »), car ça sent le désespoir, la faible estime de soi et l’absence de limites à plein nez. Nous le savons – nous entendons toutes ces histoires épouvantables ! Nous sommes féministes, et la plupart de nos lectrices et clientes sont séduisantes, intelligentes et heureuses. Elles se rendent compte qu’elles ne peuvent pas courir après un homme comme on peut courir après un job, un appartement ou encore un mode de vie particulier. Ça ne marche tout simplement pas comme ça. La plupart des hommes sont rebutés par une telle intensité, ou ils sont d’abord flattés avant de se désintéresser – vous savez, ces hommes qui semblent disparaître de la surface de la Terre ou se volatiliser.

Q. Certains critiques accusent votre livre d’être vieux jeu ou antiféministe. Que leur répondez-vous ?
Sherrie : Nos lectrices et nos clientes sont médecins, avocates, PDG ou titulaires d’un MBA, mais elles perdent leur « individualité » en se montrant trop transparentes en ligne. Elles renoncent à une part de leur pouvoir ou de leur mystère en étant disponible 24h/24 et 7j/7 à tous les niveaux de la technologie. Après tant d’emails, de textos, de mises à jour de statut, de tweets et de messages, la « femme séduisante » qui avait d’abord plu à un homme en ligne n’est subitement plus si séduisante que ça… voire peu intéressante.

Ellen : Nous confions aux femmes les nouveaux secrets d’une rencontre réussie : comment sembler mystérieuse et avoir l’air occupé à l’ère des textos, de Facebook, de Skype, des messageries instantanées, de FaceTime et de Twitter. Avoir une vie bien remplie sans qu’un homme soit au cœur de toutes vos préoccupations, ne pas laisser tomber vos amis, votre famille et vos passe-temps pour un rendez-vous de dernière minute, ou encore ne pas vous tourmenter en envoyant des textos à longueur de journée à un homme simplement pour vous assurer que vous lui plaisez encore – tout cela vous donnera un sentiment d’autonomie et de liberté.

Q. Parmi les différentes « règles », lesquelles, avez-vous eu le plus de difficultés à respecter dans votre vie amoureuse actuelle ou passée ? Avez-vous déjà enfreint une de ces « règles », ou tenté d’en enfreindre une ?
Ellen : Nous sommes toutes les deux mariées et heureuses, mais comme la majorité des femmes, nous adorons parler ; ainsi, garder une part de mystère et mettre fin à une conversation la première a toujours été un défi. Finalement, nous avons pris conscience que parler peu, écouter davantage et interrompre les choses en premier donnaient lieu à de meilleures rencontres. Les hommes trouvent les femmes légères et pétillantes (délibérément ou accidentellement) rafraîchissantes, et ils apprécient une bouffée d’air frais. Certains nous ont déjà avoué avec esprit que s’ils envoyaient un texto à une femme, ils en recevaient une vingtaine en retour. Pour les hommes, qui trop embrasse toujours mal étreint.

Q. Quel conseil donneriez-vous à une femme qui vous dit « J’ai suivi vos conseils à la lettre pendant un an, et je suis toujours célibataire. Pourquoi ? »
Sherrie : On lui répondra qu’elle n’a pas encore trouvé chaussure à son pied. Une année, ce n’est pas si long, et vous pouvez vous féliciter, car vous avez filtré des tonnes d’hommes qui ne vous conviennent pas. Il n’y a pas de mal à être célibataire ; évitez simplement de baisser les bras trop vite. Vous ne faites plus de nouvelles rencontres ?
Vous avez effacé votre profil en ligne prématurément ?
Vous craignez que quelqu’un d’autre tombe dessus ?
Tant pis ! Vous êtes célibataire, comment allez-vous rencontrer des hommes libres autrement ? Restez dans la course et ne perdez pas courage, car il faut être sur le terrain pour remporter la partie. Ce n’est pas tout de suivre Les règles et Not your Mother’s Rules ; restez active en ligne et prenez les devants pour rencontrer l’homme qui vous permettra justement d’appliquer ces Règles. N’abandonnez jamais !

Les femmes préfèrent réellement les hommes drôles

Selon une nouvelle étude, le cerveau des femmes réagirait davantage à l'humour que celui des hommes. C'est pourquoi elles seraient biologiquement plus attirées par les hommes drôles, estiment les chercheurs. "Femme qui rit est à moitié dans ton lit". Le dicton n'est pas très élégant mais bon nombre de femmes n'hésiteraient pas à le confirmer : avoir de l'humour est souvent une qualité non négligeable quand il s'agit de séduction. Mais les femmes trouvent-elles réellement les hommes drôles plus attirants ? Selon une nouvelle étude, il semblerait bien que oui. La chose serait même scientifiquement prouvée. Vous aimez nos contenus ? Recevez gratuitement la meilleure news et vidéo du jour, et profitez des conseils de Consogazette pour améliorer votre pouvoir d'achat Des chercheurs de la Stanford School of Medicine ont en effet constaté que le cerveau des femmes réagissaient davantage à l'humour que celui des hommes. Pour en arriver là, ils ont mené une expérience impliquant 22 enfants, garçons et filles, âgés de 6 à 13 ans à qui ils ont montré des vidéos plus ou moins amusantes. Les sujets ont ainsi été divisés en trois groupes : le premier a regardé des émissions de type Vidéo gag avec des chutes et des scènes avec des animaux tandis que le second a visionné des séquences dites "positives".
Le troisième groupe lui, s'est vu présenter des vidéos "neutres" comme des documentaires animaliers ou des séquences montrant des enfants faire du vélo. Durant le visionnage, les chercheurs ont observé l'activité cérébrale des sujets des trois groupes. Et une fois les vidéos regardées, ils ont demandé aux enfants leurs avis sur ce qu'ils avaient vu et s'ils avaient trouvé ça drôle, explique l'étude publiée dans la revue Social Neuroscience.
 
Un cerveau émotionnel plus activé Comparés les uns aux autres, les résultats ont alors montré que le cerveau des fillettes, en particulier le "cerveau émotionnel" associé à la récompense (comprenant notamment l'amygdale), montrait une activité plus importante avec les vidéos humoristiques. Le cerveau des garçons en revanche réagissait davantage avec des vidéos positives. Les filles prenaient donc apparemment plus de plaisir que les garçons à regarder des vidéos drôles, expliquent les auteurs."Nos données révèlent pour la première fois que les différences de sexe dans l'appréciation de l'humour existent déjà chez les jeunes enfants", écrivent les chercheurs dans un communiqué.
 
Dans la mesure où le cerveau réagit davantage, fournissant plus d'émotions, les femmes accorderaient alors plus d'importance à l'humour d'un homme. Selon les chercheurs, les résultats suggèrent ainsi que le fait qu'une femme apprécie ou non les plaisanteries d'un homme jouerait grandement dans la quête d'un partenaire. Des femmes encore plus sensibles que d'autres.
Ceci pourrait s'avérer vrai car "le cerveau féminin, et en particulier le circuit de la récompense, est biologiquement mieux préparé à répondre en conséquence", à l'humour du partenaire, relèvent-ils. Néanmoins, certaines femmes pourraient être encore plus sensibles que d'autres...
Et l'inverse alors ?
Les hommes sont-ils également plus attirés par les femmes drôles ?
Pour l'heure, la question reste en suspens.
 

Infertilité : un traitement pour provoquer l'ovulation chez des femmes infertiles

Des chercheurs américains sont parvenus à mettre au point une méthode qui entraine la production d'ovules chez certaines femmes infertiles. L’une des patientes atteintes d'insuffisance ovarienne précoce a déjà donné naissance à un enfant. C'est un véritable espoir pour toutes les femmes qui n'ont pas la possibilité d'avoir un enfant. Des chercheurs américains sont parvenus à mettre au point une technique qui permet d'induire la production d'ovules chez certaines femmes infertiles. Cette méthode a été évaluée auprès de 27 Japonaises souffrant d'insuffisance ovarienne primaire à l'hôpital universitaire St Marianna, à Kawasaki. Vous aimez nos contenus ?  
Grâce à cette technique, les scientifiques ont pu collecter des ovocytes ayant atteint leur maturité (ce qui n’est normalement pas possible) pour les fertiliser in vitro chez cinq d'entre elles. Parmi ces dernières, une a eu un enfant, un garçon en décembre 2012, et une autre est enceinte, indiquent les auteurs de la recherche parue dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS). Pour en arriver là, les chercheurs ont utilisés des oeufs immatures ou des follicules déjà présents chez les femmes.
Des follicules dormants à réveillerEn effet, les femmes naissent généralement avec plusieurs millions de follicules immatures mais seulement 400 d'entre eux environ atteignent le stade où ils libèrent un ovocyte dans les trompes de Fallope qui est potentiellement fertilisé. Aussi, certains de ces follicules non utilisés restent, même après qu'une femme a atteint la ménopause. Or, bien que dormants, ils contiennent des ovocytes tout à fait capables d'être fertilisés pour donner un oeuf. C'est de ce principe que sont partis les chercheurs pour développer leur technique. "Des femmes souffrant d'insuffisance ovarienne primaire sont ménopausées très tôt, avant l'âge de 40 ans.
 
De précédentes études ont montré que ces femmes ont encore de très petits follicules et, bien qu'elles n'aient plus de cycle menstruel, on pensait qu'elles étaient encore traitables", explique le Dr Aaron Hsueh, professeur de gynécologie à la faculté de médecine de l'Université Stanford en Californie et principal auteur de cette étude.Une "activation in vitro" Les follicules immatures sont maintenus en état de dormance par un gène appelé PTEN, qui supprime la voie de signalisation nécessaire à la croissance des cellules. Au cours d'une étude précédente, le Dr Hsueh et ses collègues ont montré chez des souris que les follicules pouvaient être stimulés si l'on prélevait une partie de l'ovaire et qu'on l'incubait avec une molécule stimulant la voie inhibée par PTEN.
 
En réalisant cela chez les rongeurs, les scientifiques ont réussi à obtenir des follicules matures.Ces derniers ont pu alors être fertilisés et aboutir à la naissance de petites souris en bonne santé. Grâce à cette étude préliminaire, les scientifiques ont prolongé leurs travaux et mis au point une technique similaire d'"activation in vitro" applicable à l'humain. Il s'agit également de retirer une partie de l'ovaire pour le traiter in vitro avant de le ré-implanter. La patiente se voit ensuite administrer des hormones destinés à stimuler la croissance des follicules qui vont libérer des ovocytes matures.
 
Un protocole applicable pour d'autres formes d'infertilité ?
Sur les 27 Japonaises de l'étude, 13 avaient encore des follicules dormants. "Ces résultats montrent qu'il y a bien de petits follicules qui restent là même après que les menstruations d'une femme se sont arrêtées. C'est une manière de les mettre à travailler. Ces résultats nous donnent l'espoir que ce groupe de patientes peuvent être traitées" avec succès, ajoute le Dr Hsueh cité par New Scientist. "Malgré le fait qu'il existe trop peu de données disponibles sur ce traitement expérimental pour garantir un taux de succès donné, l'approche paraît très prometteuse pour les femmes qui ne produisent plus d'ovules", estime le Dr Valerie Baker.
Pour l’heure, la technique n’a pu être validée que par rapport à la prise en charge d'insuffisance ovarienne primaire et pas pour d’autres formes de stérilité. Néanmoins, les scientifiques envisagent d’ores et déjà de faire des recherches pour déterminer si les femmes présentant une ménopause précoce provoquée par des traitements anticancéreux pourraient aussi en bénéficier. De plus, ils envisagent de tester cette technique chez des femmes infertiles ayant de 40 à 45 ans.
http://famille-cgo.blogspot.com/2013/10/infertilite-un-traitement-pour.html  

vendredi 4 octobre 2013

Le conseil du pape pour sauver son mariage : pardonner "même si les assiettes volent"

Pape François le 04/10/2013 / Crédits : LCINotre sociétéLe pape François a demandé vendredi aux couples de se pardonner à temps et de ne jamais finir la journée sans faire la paix même "si les assiettes volent."

Si le pardon survient assez tôt, il peut sauver de nombreux mariages. C'est une certitude pour le pape. S'adressant vendredi aux religieux dans la cathédrale Saint-Rufin d'Assise, François est revenu sur un thème qui lui est cher : "Reconnaître ses propres erreurs et demander pardon mais aussi accepter les excuses des autres en leur pardonnant".

Un appel qu'il a adressé à la fois au clergé et aux familles . Il a évoqué en particulier les "couples qui se séparent après de nombreuses années de mariage", en disant qu'ils "se sont éloignés l'un de l'autre". Pour le pape, "ils n'ont pas su pardonner à temps".  "Même si les assiettes volent, il ne faut jamais, au grand jamais, finir la journée sans faire la paix", a-t-il recommandé, sur un ton familier qui rappelle celui de Jean XXIII, pape de 1958 à 1963.

Il a cité comme modèles de convivialité les paroisses qu'il a connues dans le passé en Argentine où les prêtres "connaissaient les noms des grands-parents" des paroissiens. Et il y avait même des prêtres qui pouvaient dire : "Je connais aussi le nom du chien dans chaque famille".  "N'ayez pas peur" de rencontrer les personnes marginalisées, méprisées, a exhorté François. "Ne vous laissez pas bloquer par des préjugés, des habitudes, des rigidités mentales et pastorales, et par ce réflexe qui consiste à se dire que ça a toujours été comme ça".

Cesser les "homélies interminables"
Le souverain pontife a tonné contre le clergé qui agit sans prendre conseil auprès des laïcs : "Un évêque ne peut pas guider un diocèse sans conseil pastoral, un curé ne peut pas guider une paroisse sans conseil paroissial, c'est fondamental". La collégialité et le rôle des laïcs avaient figuré parmi les principaux sujets abordés de mardi à jeudi par les huit cardinaux, qui conseillent le pape.

Le pape François , comme il en est coutumier, a lancé diverses piques au clergé: "Je pense, a-t-il dit, à toutes ces homélies interminables et ennuyeuses auxquelles on ne comprend rien. Ceci est pour vous!", a-t-il dit dans un large sourire, déclenchant des applaudissements.

dimanche 29 septembre 2013

Comment mieux traverser le premier trimestre de sa grossesse ?

Comment mieux traverser le premier trimestre de sa grossesse ? Les premiers symptômes de la grossesse font que le premier trimestre est assez difficile à vivre. Effectivement, c’est à ce moment que les nausées commencent et sont les plus désagréables. Il y a également la fatigue, le vertige soudain, les sautes d’humeur, etc… Bref, la femme récemment enceinte devient invivable. Pour éviter que tout le monde vous fuie à cause de cela, voici quelques remèdes qui vous aideront à vous sentir mieux et à être de meilleur humeur durant les trois premiers mois de grossesse.
 
Étapes de réalisation
1 - Premièrement, dès le réveil, respirez profondément. Inspirez par le nez jusqu’à remplir complètement vos poumons, puis expirez tout doucement par la bouche. Refaites l’opération une bonne dizaine de fois. Cet exercice respiratoire vous aidera à prévenir le vertige et les nausées. Notons tout de même que ce n’est pas une solution miracle.  
   
2 - Si vous avez une pelouse, l’idéal serait que vous marchiez pieds nus dessus pendant au moins un quart d’heure tous les jours. Cela vous aide également à être beaucoup moins nauséeuse et par ailleurs tout comme le fait de marcher pieds nus sur le sable blanc, cela a pour effet de faire disparaître les maux de tête.     
 
3 - Si vous vomissez beaucoup, évitez au maximum les aliments farineux (pâtes, gâteaux, pizzas, tartes, etc). Sachez aussi qu’il est toujours préférable de consommer le moins possible de sucres. Mangez plutôt des aliments naturellement sucrés tels que les fruits, par exemple.

Comment bien vivre sa grossesse ?

Comment bien vivre sa grossesse ? La grossesse entraîne neuf mois de chamboulements physiques et psychiques. Hormone, prise de poids, saute d’humeur se mélangent avec la sensation de plénitude, la féminité accomplie, l’attente du bébé. Ces changements pourraient être bien vécus avec quelques dispositions simples mais efficaces. Futures mamans, prenez- vous en main et la grossesse se fera en toute sérénité !
 
Étapes de réalisation
1 - Manger équilibré :
On ne mange pas pour deux, on alimente bébé avec de la qualité ! Surveillez votre nutrition, privilégiez fruits et légumes. Optez pour les fruits de mer car ils regorgent de vitamines et d’oligo-éléments. Prenez de temps en temps de la viande. N’oubliez pas de respecter les 1 litre et demi d’eau. Des envies de grignotage? Limitez les sucreries !
2 - Vivre une sexualité épanouie :
Le corps plus enveloppé, les seins plus gros, la sexualité est tout à fait compatible avec la grossesse, sauf dans des cas exceptionnels. Si le futur papa hésite, parlez-en ensemble. Adoptez des positions qui vous mettront à l’aise !     
 
3 - Prendre soin de son corps :
Les rondeurs commencent à se voir. Pour rendre la peau plus souple et éviter les vergetures, de doux massages sur le ventre, sur les cuisses, sur les fesses et les seins avec de l’huile d’amande douce sont plus que bénéfiques. A faire tous les jours. Evitez de vous exposer trop au soleil pour prévenir des masques de grossesse. Faîtes quelques marches, sans excès, pour une bonne circulation.     
 
4 - Se faire plaisir :
A faire sans modération ! Faites des emplettes, choisissez les layettes de votre futur bébé. Préparez les trousseaux. Offrez-vous des moments de détentes, accordez-vous quelques minutes de sieste et écoutez de la musique, par exemple.

Comment éviter la grossesse avec une méthode naturelle

Quand on désire éviter de tomber enceinte, sans avoir à passer par la prise de pilule, les piqûres diverses et les désagréments qui s’ensuivent, il n’y a rien de mieux que la maîtrise de son cycle menstruel. C'est la méthode naturelle pour éviter une grossesse.
 
Étapes de réalisation
Se procurer un logiciel de gestion de son cycle menstruel, dont notamment Women Calendar. Installer le logiciel dans son ordinateur et noter chaque mois la date du début des menstruations.
    
2 - Suivre les indications du logiciel pour chaque jour du mois, à partir des données entrées. On peut par exemple y voir : la date de grande fertilité, la date de basse fertilité, la date prévue pour la menstruation, la date d’ovulation.     
 
3 - Demander à son partenaire de pratiquer le retrait, cinq jours avant et cinq jours après la date d’ovulation indiquée par le logiciel. En cas de refus de celui-ci, utiliser un préservatif.
 

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